hiémal l'étameur
celui qui couvre ce
mâchement
d'hilote au nom de
gemme
sa tête exsudant ses tempêtes
garde-feu sa bouche aux silences de premières neiges
épreignent-elles par précaution
les nuits qui broient l’épaisseur
ou cisaillent comme on dessine
l’acier aux ventres de centaures
lourds géminés
*
puis tu tords
c'est suivre le rythme le
likembé seul
le godillot
dans l'mud mud !
voilà et tu troues tu tournes
l'mud le godillot i tap' ses sources
son blues ziska même
qu'ça pète
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire