Les premiers mots et mots lourds d'interdits et de rires. "De nit, quan ja s'allunya la tabola
dels darrers vianants". Les derniers, ceux qui depuis les fins de noces allongent leurs silhouettes jusqu'à les briser et Josep Carner de pousser lui jusqu'à ce temps d'exil d'où il nous parle dans sa langue. J'y viens. Librarie catalane où de nouveau j'avance dans l'attente joyeuse de celui qui veut un mot, ce mot léger et lourd, qui noue et dénoue. Nit/nuit ou núvol/nuage. Et puis s'en va. Demain, nous aurons à lancer l'ombre sur le chemin. Nous arrêter aussi. Sous l'arbre d'automne, écouter le chant le chant sans pareil, celui qui ne s'arrête pas, celui d'Ana Dodas.
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