mardi 7 octobre 2008

28 août 96

Arrivé par la fontaine des Rosières, je suis redescendu en direction du Val. Sur le chemin, ces petites maisons neuves au milieu de lotissements nés durant l'année. La chanson disait : "A chacun la 'tite m'son bouibouigue de ses rêves". Mais on entendait aussi : "au SDF son carton, au sans-papier son arrêté d'expulsion, au pauvre son taudis, sa cage-à-poule, son non-lieu bien à soi".

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