Arrivé par la fontaine des Rosières, je suis redescendu en direction du Val. Sur le chemin, ces petites maisons neuves au milieu de lotissements nés durant l'année. La chanson disait : "A chacun la 'tite m'son bouibouigue de ses rêves". Mais on entendait aussi : "au SDF son carton, au sans-papier son arrêté d'expulsion, au pauvre son taudis, sa cage-à-poule, son non-lieu bien à soi".
mardi 7 octobre 2008
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