Cette semaine Le Figaro propose un volume du Littré : "hospitalité/joug".
Toute l'époque est là.
Nous avons beau attendre, les yeux levés sur des panneaux aveugles, rien ne vient qui ne soit déjà là. Non pas écrit. Là, simplement. Comme le soir qui accueille d'abord puis referme la mâchoire de l'illusion.
Il faudrait prendre le temps de compter les mots qui séparent hospitalité de joug.
Se perdre alors. Puis, la dernière page tournée demander : "dois-je lever les yeux plus haut encore ?"
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